La palmeraie est un écosystème formidable.
Le travail minutieux des jardiniers pour irriguer parcelle par parcelle à partir des seguias qui coulent sous les palmiers, les bonjour qui fusent des gens souriants qui travaillent à la récolte des dattes ou que l’on croise sur la piste, les explosions de lumière des feuilles d’automne des grenadiers, les pointes noires des olives dans l’ombre, les grappes jaunes ou brunes des dattes, le chant des oiseaux, on ne s’en lasse pas.
On se dit que rien n’a changé depuis mille ans (sauf peut-être l’arrivée des téléphones portables).