Cette fois-ci, ça y est : on est partis ! Après trente six heures de voyage depuis Limoges, nous nous sommes réveillés ce matin à l’auberge de jeunesse près de l’aéroport de Bangkok. Ayant quitté Limoges à 9h le 30 décembre, on est arrivés au dessus de Bangkok à minuit pile le 31 et c’est bien la première fois que l’on voit des feux d’artifice depuis le ciel. Un peu partout dans la (très) grande ville, les thaïlandais fêtaient la nouvelle année. On se serait presque pris pour Thomas Pesquet.
On nous avait dit pis que pendre de l’escale à l’aéroport de Pékin. On allait passer des heures dans des contrôles tatillons, nous perdre dans les couloirs, ne trouver personne pour nous renseigner… Comme prévu, très peu de chinois parlent anglais et quand ils le font c’est avec un accent incompréhensible, mais à part cela on a été très agréablement surpris par cet immense terminal 3.
Il ressemble à tous les grands aéroports modernes, avec son duty free identique à celui de JFK ou de Charles-de-Gaulle. Avec juste en plus des magasins entiers de pandas de toutes tailles à disposition.
Beaucoup de place, une bonne signalétique et bizarrement peu de monde dans ce qui est censé être un des plus grands aéroports du monde. Rien de particulier à en dire, sinon qu’il y faisait un froid de canard. La conséquence du -6° à l’extérieur ? Les sept heures d’attente après le vol de dix heures Paris-Pékin et avant le vol de cinq heures pour Bangkok nous ont quand même semblé bien longues . On a eu tout le loisir de découvrir les lieux et de repérer un panneau intéressant sur la porte des toilettes à la Turque. Sans doute un message subliminal à l’attention de nos articulations !
Quant à notre première vision de Bangkok, elle nous permet de vous souhaiter une belle année 2019 de la part de Chon.